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Le
grand embouteillage (L'ingorgo, una storia impossibile)
Drame
Réalisation : Luigi Comencini
Scénario : De Luigi Comencini, Ruggero Maccari
Production : Gaumont,
Producteur : Silvio et Anna Maria CLEMENTELLI
Dir. de prod. : Robert Sussfeld, Marc Goldstaub
Image : Ennio GUARNIERI
Musique : F CARPI, M SOLIA
Sortie salle : Italie 1978 / France 21 novembre 1979
Distribution : Gaumont Distribution
Couleurs
Procédé : Eastmancolor
Durée : 113 mn
Pays prod. : Italie
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INTERPRETES
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Miou-Miou
(Angela) / Patrick Dewaere ("Le monologant ") / Stefanla
Sandrelli (Teresa)/ Ugo Tognazzi (Le professeur) / Marcello Mastroianni
( Marco Montefoschi) / Harry Baer (Mario) / Gérard Depardieu
( Franco) / Lionel Vitrant (le cadavre) / Patrick Dewaere / Annie
Girardot ( Irène)...
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SUJET
:
Un
homme d'affaires descend de son avion privé qui vient de
se poser sur la piste de l'aéroport de Rome, où il
est accueilli par son secrétaire. Ils montent dans sa grosse
voiture - une Jaguar. Mais à peine à quelques centaines
de mètres, ils se retrouvent bloqués dans un énorme
embouteillage.Devant eux, se déroule alors une tranche de
vie Italienne... Une vieille Fiat occupée par une famille
napolitaine au complet. Un peu plus loin, un couple part célébrer
leurs noces d'argent. Dans une Volkswagen, un jeune homme (Patrick
Dewaere) s'apprête à rejoindre une jeune fille. Dans
une Mercédès, quatre hommes armés, discutent,
tandis qu'une ambulance transporte un blessé grave... La
vie de l'embouteillage s'organise peu à peu puis va commencer
à se désagréger et dégénérer.
Mais enfin, un hélicoptère apparaît dans le
ciel sombre annonçant que l'embouteillage va prendre fin.
Les moteurs vrombissent... mais aucune voiture ne démarre.
Le silence revient, le ciel s'obscurcit de plus en plus.
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POINTS
DE VUES :
"
Le Grand Embouteillage est l'un des plus grands films de Comencini
et aussi l'un des plus importants de l'année, ce qui aurait
dû lui valoir la distinction suprême au Festival de
Cannes... On sort de la projection aussi écrasé, aussi
commotionné qu'après le Salo de Pasolini mais le malaise
métaphysique, existentiel que secrète ce dernier,
fait place ici à un choc où l'affectivité et
l'intellect entrent en jeu. «A part un ou deux cas qui trouvent
leur justification et leur signification par ailleurs (Dewaere et
Girardot - Fernando Rey), tous les épisodes mettent en cause
la misère matérielle et morale des rapports basés
sur l'argent et sur le respect des valeurs traditionnelles. "
André Cornand, La Saison Cinématographique
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PHOTOS
( encore plus de Photos au chapitre
photographies ):
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VIDEO
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AUDIO : |
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Extrait du film : ( environ: 548 Ko )
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