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envoyer par e-mail, cela améliorai encore grandement ce
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Au
long de rivière fango
Aventures
Réalisation : Sotha
Scénario : Sotha
Auteur adapt. : Sotha
Production : Les Films Coûte que Coûte ,
Le Café de la Gare
Producteur : Régis Torben, Alain Dahan
Image : Jean-César Chiabaut
Montage : Michel Patient
Musique : Ludwig van Beethoven, W. Chapman, Sotha,
Patrick Dewaere, Xavier Thibaut
Sortie salle : 22 janvier 1975
Distribution : Films Coûte que Coûte (Les), CFDC
Couleurs
Durée : 115 mn
Pays prod. : France
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INTERPRETES
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Rufus
(Jérémie) / Emmanuelle Riva (Mathilde) / Ben Mangelsohots
(Bild) / Elisabeth Wiener (Robert) / Romain Bouteille (Nathaniel)
/ Christine Dejoux (Maurine) / Patrick Dewaere (Sébastien)
/ Sophie Chemineau (Lucille)/ Martin Lamotte / Miou-Miou |
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SUJET
:
Deux
jeunes gens, très blonds, Jérémy et Bild arrivent
dans une étrange contrée où toutes les entraves
sociales ont été supprimées. La communauté
de quelques dizaine de personnes vit en parfaite harmonie avec la
nature. Cette société a complètement rompu
les ponts avec la société urbaine et capitaliste.
En fait, Bild semble être là pour retrouver sa mère
qui est sans doute la fondatrice de cette communauté. Mais,
après avoir tenté de prêcher un retour au progrès,
Bild sera tué et Jérémy va apprendre que c'est
lui le fils de fondatrice du groupe, mais il va s'enfuir, en s'apercevant
qu'il allait comettre un inceste avec la jeune Maurinne fille elle
aussi de la fondatrice, et donc sa propre sœur.
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POINTS
DE VUES :
"
Le film contient un certain nombre d'éléments critiques
adressés aux utopies communautaires et écologiques
: moins dans les critiques proférées par les deux
étrangers que dans ce qui apparaît des contradictions
propres à cette micro-société. Mais la démonstration
n'est certes pas l'objet du film. Et d'ailleurs cette critique directe
s'accompagne d'une grande faiblesse de la mise en scéne,
qui succombe aux effets faciles : communion avec la nature (que
de clichés dans la prise de vues), joies du travail manuel
(avec un peu d'humour, tout de même), séduction facile
des objets rustiques et costumes directement rattachés à
la mode des boutiques "in" de la Rive Gauche, etc. Beaucoup
d'idées de mise en scène, telles que le grand feu
purificateur de la conclusion, sont d'une banalité déroutante,
indigne de la troupe du Café de la Gare... Décevant,
sans vigueur ni rigueur, faible dans une partie des dialogues, superficiel
par certains côtés, ce film ne peut racheté
par l'excellence de la prestation des acteurs : Rufus, Patrick Dewaere,
Romain Bouteille surtout, en idéologue vieillissant (seul
dépositaire dans le film d'un humour réconfortant)
et diverses figures secondaires...Malgré la sympathie acquise
à l'équipe qui a voulu ce film malgré d'importantes
diffïcultés, malgré quelques scènes réussies
(au début du film,.notamment), on ne peut quêtre sévère
vis-à-vis de cette première oeuvre, dépourvue
de nerf et de vigilance. "
Daniel Sauvaget, La Saison Cinématographique.
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PHOTOS
( encore plus de Photos au chapitre
photographies ):
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: |
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AUDIO : |
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Extrait
du film : ( environ: 1300 Ko )
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BO
du film chanté
par Patrick Dewaere
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